D. Еmрlоі du plus-que-parfair du subjonctif.

1. Хоча заняття вже закінчилися, він ще залишався в інституті. 2. Хоча
дощ давно припинився, земля ще була волога. 3. Я не думав, що ви вже видужали. 4. Він не думав, що мені вже повіли цю новину. 5. Я здивувався, що він так пізно прокинувся. 6. Я був здивований, що він ще не читав цієї книжки. 7. Ми були задоволені, що наші футболісти здобули перемогу.

Ex. 429. Donnez deux réponses différentes aux questions suivantes en employant le subjonctif ou l'indicatif:

1. Pensez-vous que tous les hommes politiques soient corruptibles?

Il me semble que beaucoup d'hommes politiques ... .

Je ne pense pas que la majorité des hommes politiques ... .

2. Est-que vous trouvez que les enfants uniques ont de la chance?

Il me semble que non, que ... .

Je trouve qu'ils ... .

3. Devient-on sage en vieillissant à votre avis?

Je n'ai pas l'impression ... .

C'est clair qu'on ... .

4. Pensez-vous que le jeu tienne beaucoup de place dans le développement de l'enfant?

Il ne fait pas de doute que ... .

Il semble oui, que ... .

5. Est-il indispensable de beaucoup dormir?

Je suis seulement sûr que ... .

Je ne pense pas que ... .

6. Croyez-vous qu'il faut limiter la circulation automobile dans les villes?

Je pense que oui ... .

Il est probable que ... .

7. Pensez-vous que l'on retient mieux ce qui intéress?

Qu'on ... .

Il n'est pas douteux ... .

Ex. 430. Traduisez le texte. Expliquez l'emploi du subjonctif:

Dantès passa tous les degrés du malheur que subissent les prisonniers oubliés dans une prison. Il commença par l'orgueil, il finit par prières. Dantès pria qu'on voulût bien le tirer de son cachot pour le mettre dans un autre, fût-il plus noir et plus profond. Un changement, même désavantageux, était toujours un changement, et procurerait à Dantès une distraction de quelques jours. Il pria qu'on lui accordât la promenade, l'air, des livres, des instruments. Rien de tout cela ne lui fut accordé; mais n'importe, il demandait toujours. Il s'était habitué à parler à son nouveau geôlier, quoiqu'il fût encore, s'il était possible, plus muet que l'ancien; mais parler à un homme, même à un muet, était encore un plaisir. Dantès en vint à souhaiter d'être jeté dans un des bouges remplis de prisonniers communs où se trouvaient des vagabonds, des bandits et des assassins, afin qu'il pût voir d'autres visages que celui de ce geôlier impassible qui ne voulait point parler; il regrettait le bagne avec son costume infamant, sa chaîne au pied, sa flétrissure sur l'épaule. Au moins les galériens étaient dans la société de leurs semblables, ils respiraient l'air, ils voyaient le ciel; les galériens étaient bien heureux. Il supplia un jour le geôlier de demander pour lui un compagnon, quel qu'il fût, ce compagnon dût-il être cet abbé fou dont il avait entendu parler. Sous l'écorce du geôlier, si rude qu'elle soit, il reste toujours un peu de l'homme. Celui-ci avait souvent, du fond du cœur, et quoique son visage n'en eût rien dit, plaint ce malheureux jeune homme, à qui la captivité était si dure: il transmit sa demande au gouverneur; mais celui-ci prudent comme s'il eût été un homme politique, se figura que Dantès voulait ameuter les prisonniers, tramer quelque complot, s'aider d'un ami dans quelque tentative d'évasion, et il refusa.

D'après A. D u m a s, Le comte de Monte-Cristo